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Prison School

  • Photo du rédacteur: Dante / Omni
    Dante / Omni
  • 8 août 2018
  • 2 min de lecture

Datant déjà de 2011, Prison School (#PS) est un seinen écrit et dessiné par Akira Hiramoto et composé de 28 tomes. Si la série est terminée au pays du Soleil-Levant, c'est encore loin d'être le cas de l'adaptation française dont le tome 17 vient de paraître. Un animé de 12 épisodes est aussi disponible sans pour autant avoir de suite prévue à ce jour.


Avant d'aller plus loin, nous précisons que cette série ne s'adresse pas à un jeune public, merci d'en prendre note.


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Prison School raconte la vie de cinq élèves masculins inscrit dans l'un des plus prestigieux lycée du Japon. La spécialité de ce dernier est qu'il était, jusque-là, uniquement réservé aux demoiselles. Mais pour cette rentrée, l'établissement a changé de politique pour ouvrir ces portes aux jeunes hommes de la société. Nos cinq héros d'infortunes se retrouveront alors être les seuls mâles de l'établissement et se feront, après une mésaventure, enfermés dans une prison gérée par le BDE, un groupe clandestin de demoiselles décidées à tout prix à faire expulser les cinq nuisibles testostéronés.


Bourrée d'humour, la série ne cesse de faire subir de multiples sévices au groupe masculin dont nous nous attachons forcément lorsque nous sommes munis des mêmes attributs qu'eux. Très penché sur la culotte et les poitrines généreuses, il faut dire que Prison School s'adresse tout de même à une clientèle plutôt masculine. Toutefois, à l'image de Monster Musume, même si elle est plus sombre et sérieuse, la série jongle avec aisance entre la comédie, l'action et la perversité. Plus suggérée que vulgairement présentée, cette dernière sert principalement à renforcer le côté drôle des situations tout en gardant, tout de même, une part de simple fan service.


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L'animation de douze épisodes, retraçant la toute première partie du manga, est de très bonne qualité. En cas d'intérêt, nous ne pouvons que vous conseiller de visionner la version non-censurée, non pas par coquinerie, mais car la censure gâche plus qu'elle ne cache.


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Côté goodies, le manga n'a pas été délaissé malgré son caractère plutôt adulte. Évidemment, côté figurine il ne faudra pas s'attendre à avoir des lycéennes très habillées. A l'image de la série, les produits dérivés s'adressent plutôt à un un public masculin et surtout adulte pour le coup (sans pour autant être PEGI 18). De ce fait, nous ne présenterons pas de figurines sur #CKO et vous laissons aller vous renseigner sur le net. Sachez seulement que les articles se font rares et se vendent désormais à prix d'or.


Au final, Prison School est une très bonne série que nous vous conseillons chaleureusement.

 
 
 

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